Pour son PDG, Voyageurs du Monde propose déjà des offres adaptées à l’évolution du secteur vers des pratiques plus durables et plus locales. Evolution qui sera progressive selon Jean-François Rial, qui ne croit pas à un « grand soir » touristique au lendemain de la pandémie. Il conteste aussi l’idée selon laquelle le voyage responsable serait élitiste, refusant que certains soient obligés « de pratiquer un tourisme de masse ». Récemment élu président de l’Office du tourisme et des congrès de Paris, il détaille son ambitieuse feuille de route : lutter contre le surtourisme, rendre le tourisme plus écologique, développer les services, remettre du « beau ».

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