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Janvier 2005

 

Compte-rendu de la réunion du 25 janvier 2005 du Club Penser et Agir

L'enjeu de la maîtrise des dépenses publiques reste largement abstrait pour une partie importante de l'opinion publique. Il est pourtant directement lié à celui, très vivement ressenti, de la qualité des services publics.  Le Club Penser et Agir a choisi d'analyser la tension qui lie ces deux exigences à travers l'examen d'une série de questions:

  • Est-il possible de limiter une demande sociale de programmes et d'assistance qui paraît en croissance infinie ? Et si oui, comment ?
  • A quelles conditions peut-on rompre avec la pratique pernicieuse de la régulation budgétaire ? Et avec quelles conséquences ?
  • Comment identifier les gisements de productivité ou d'économies conséquents, et comment les exploiter ?
  • Quel sera l'impact de la nouvelle Loi Organique relative aux Lois de Finances sur la connaissance des coûts et de l'efficacité de l'action publique ?
  • Comment convaincre l'opinion publique et les décideurs de l'impérieuse nécessité d'une maîtrise de la dépense publique ?

 Pour débattre autour de ces thèmes, plusieurs personnalités ont été entendues :

  • Franck Mordacq, directeur de l'Inspection générale au ministère de l'Economie et des Finances;
  • Thierry Bert, chef de service de l'Inspection Générale des Finances;
  • Claude d'Harcourt, secrétaire général pour l'administration de la police à la Préfecture de police de Paris;
  • Jean-Yves Raude, trésorier payeur général de l'Orne.

Le Club Penser et Agir animé par Sylvie Trosa, expert en management public, entend réunir tous les acteurs intéressés à la modernisation des pratiques publiques ; ses travaux s'appuieront largement sur l'analyse des expériences conduites hors de France.

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